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La trilogie SACRÉes NaNas met en lumière des femmes ou groupe de femmes, connues ou méconnues, et les replace dans leur contexte historique et sociétal.
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Vernissage Sacrées Nanas opus 3
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Pas de post hier et pour cause ! Une journée noire et rose à la fois.
Noire ça arrive parfois dans un cycle de création. Le raté ! La galère ! L’enfer ! Après avoir fait un traitement de surface particulier sur ma toile indienne dans la nuit de Vendredi à Samedi, c’est l’horreur.
Le chef d’œuvre originel de SACRÉes NaNas git devant moi empoisonné. Je suis 6000 pieds sous terre !!! La surface est collante, poisseuse, hideuse ! 3 semaines de travail sur cette toile qui me tient très à cœur, réduites à l’état de tue mouches ! Ca m’était déjà arrivé une fois et la toile était partie à la poubelle. Je sais que le risque existe puisque l’alchimie dépend de la température, de l’hygrométrie ou de l’humeur de je ne sais quel Dieu ! Mais là, impossible de me résoudre à mettre toile et âmes à l’oubli. Après 1 heure à tester tous les solvants tueurs de mon placard, St Luc (le patron protecteur des artistes, grands inconnu de mes contacts y encore 2 minutes) me murmure à l’oreille des cheveux la combinaison gagnante. Encore 3 heures à éponger le gluant et la toile est sauvée à 90 %. Aujourd’hui je n’ai plus qu’à rajouter à mon agenda débordant : Indiennes à restaurer, 3 heures. Mais au final, merci la Vie !
Noire ça arrive parfois dans un cycle de création. Le raté ! La galère ! L’enfer ! Après avoir fait un traitement de surface particulier sur ma toile indienne dans la nuit de Vendredi à Samedi, c’est l’horreur.
Le chef d’œuvre originel de SACRÉes NaNas git devant moi empoisonné. Je suis 6000 pieds sous terre !!! La surface est collante, poisseuse, hideuse ! 3 semaines de travail sur cette toile qui me tient très à cœur, réduites à l’état de tue mouches ! Ca m’était déjà arrivé une fois et la toile était partie à la poubelle. Je sais que le risque existe puisque l’alchimie dépend de la température, de l’hygrométrie ou de l’humeur de je ne sais quel Dieu ! Mais là, impossible de me résoudre à mettre toile et âmes à l’oubli. Après 1 heure à tester tous les solvants tueurs de mon placard, St Luc (le patron protecteur des artistes, grands inconnu de mes contacts y encore 2 minutes) me murmure à l’oreille des cheveux la combinaison gagnante. Encore 3 heures à éponger le gluant et la toile est sauvée à 90 %. Aujourd’hui je n’ai plus qu’à rajouter à mon agenda débordant : Indiennes à restaurer, 3 heures. Mais au final, merci la Vie !
Rose aussi ! Colloque de Christelle Taraud, coordinatrice de la bible du Féminicide à Cormontreuil.
La salle est comble. Par contre, la moyenne d’âge est quand même un peu élevée. OUHOUH ! les jeunes filles c’est de votre avenir qu’on parle là ! Y a pas que les quanrantenaires qui sont mises au poteau. Belle représentation également pour la gente masculine avec 3 poilus, que je salue.
Après 3 heures d’info intenses non BFMisées, c’est une séance dédicace ultra speed avec le TGV de 19h42 en ligne de mire. Le journée se conclue à la pause clopes (je suis au vapo depuis le 13 Août, et je tiens … YESSSS) par un échange de bisous et de coordonnées.
